Société

La prévention des risques professionnels des viticulteurs et vignerons

Les accidents du travail et maladies professionnelles en viticulture et vinification ont des taux fréquence et de gravité élevés, supérieurs à la moyenne du secteur agricole : les activités du travail de la vigne (taille, traitements phytosanitaires, entretien des sols…), de la vendange et les travaux dans les chais et les cuves (foulage, pressurage, embouteillage, conditionnement…), accumulent les risques de toute nature et tout au long de l’année :

– Risques physiques liés aux gestes répétitifs et aux postures contraignantes de la taille et de la vendange avec tous les troubles musculo-squelettiques associés,

– Risques physiques de coupures ou blessures liés à l’utilisation de machines, engins et outils (tracteurs, sécateurs..),

– Risques physiques liés aux manutentions lourdes (hottes, barriques…) et aux chutes sur sol inégal, glissant, ou encombré (tuyaux..) ou dues aux interventions en hauteur sur les pressoirs,

– Risques physiques liés aux contraintes du travail en extérieur (climatiques, piqures d’insectes, corps étrangers dans les yeux…)

– Risques chimiques liés à l’exposition des viticulteurs aux pesticides et engrais lors des traitements phytosanitaires et de fertilisation,

– Risques chimiques liés à l’intoxication possible lors du travail dans les cuves (CO2 de fermentation), ou du sulfitage (SO2).

– Risques chimiques lors du nettoyage et désinfection dans les caves de vinification.

 

Tous les risques des viticulteurs et vignerons peuvent être maîtrisés par des moyens de prévention collective (utilisation d’outils ergonomiques, ventilation efficace, organisation du travail…) et individuelle (équipements de protection) qui doivent impérativement être mis en œuvre. A ces mesures de prévention s’ajoutent la nécessité d’une formation continue à la sécurité du travail.

Les principaux risques professionnels des viticulteurs et vignerons

 

 

Les troubles musculo-squelettiques (TMS)

Les viticulteurs figurent parmi les métiers les plus concernés par les troubles musculo-squelettiques, c’est-à-dire les affections péri-articulaires provoquant des douleurs des poignets (syndrome du canal carpien), des coudes (épicondylite), des épaules (tendinites) et des lésions de la colonne vertébrale (cervicalgies, lombalgies) ainsi que des traumatismes aux genoux et aux chevilles (entorses…). Des gestes répétitifs et postures de travail contraignantes, des manutentions manuelles de lourdes charges et les vibrations endurées lors de la conduite d’engins sur sol inégal sont particulièrement fréquents dans le métier de viticulteur, notamment dans les opérations de taille, de palissage, de pliage, de coupe :

– efforts et mouvements répétitifs de la main et du membre supérieur,

– position accroupie, agenouillée ou penchée en avant fréquente

– station debout prolongée et marche sur sol inégal, boueux, sableux…

Les risques liés à ces gestes et postures sont majorés si le travail s’effectue dans des conditions climatiques pénibles, de froid et d’humidité ou de chaleur excessives, ou si la configuration du vignoble est difficile (vignes sur coteaux, pentues…), si le rythme est trop soutenu par les conditions de rémunération au rendement, si le travailleur est inexpérimenté et/ou mal formé (notamment les saisonniers).

Le vieillissement progressif des structures ostéoarticulaires peut aboutir à une inaptitude professionnelle, ce qui, de par leur fréquence et leur impact, tant médical que socioprofessionnel, constitue un problème majeur de santé au travail pour les viticulteurs.

 

Les TMS en viticulture sont indemnisés comme maladie professionnelle au titre du tableau 39 au Régime agricole.

 

Les risques physiques et mécaniques

Les risques physiques et mécaniques sont multiples :

– Glissades et chutes de plain-pied, liées à :

la topologie du terrain du vignoble ou à un sol défectueux des chais et caves,

ou à un trébuchement contre un obstacle non repéré d’un lieu de travail encombré,

ou chutes de hauteur d’une passerelle ou plate-forme des fosses à vendanges, des pressoirs…

Les lésions sont le plus souvent cutanées et/ou ostéo-articulaires : la foulure, l’entorse, les contusions, plaies cutanées et hémorragies, la fracture sont les lésions les plus courantes, mais ces chutes peuvent aussi entraîner la mort de l’accidenté si, par exemple, il y a eu un traumatisme crânien lorsque la tête a heurté le sol ou une installation.

–             Projections dans les yeux de sarments, lors du tirage des bois…

–             Coupures par les sécateurs, avec surinfection possible.

–             Traumatismes dus aux machines : risques de renversement des tracteurs et enjambeurs, d’écrasement, de happement par des organes en mouvement ou par les vis sans fin, de coincement lors d’attelage ou dételage d’outils ou engins…

 

Risques liés au travail en extérieur

Le travail en extérieur conduit les viticulteurs à être exposés aux ultraviolets (UV), aux intempéries, au froid ou à la chaleur, et à l’humidité.

L’exposition fréquente aux UV, surtout torse nu, peut être responsable de cancers de la peau, et, en tout cas, d’érythème solaire (coup de soleil).

Les problèmes de santé dus à la chaleur et à l’action prolongée du rayonnement solaire sur la tête (effets de l’insolation, de la déshydratation…) génèrent des risques de malaise général, de crampes musculaires, de pertes de connaissance, qui peuvent être vitaux dans les cas extrêmes (coup de chaleur). Indirectement, le travail par fortes chaleurs augmente aussi les risques d’accidents du travail par la fatigue, la sudation, la diminution de la vigilance.

Pour des travaux en extérieur, le risque lié au froid est accru par une exposition au vent (refroidissement éolien) et à l’humidité. Le refroidissement des parties du corps peut provoquer des engelures, des lésions cutanées. Les mains et les pieds (surtout doigts ou orteils) ont tendance à se refroidir plus rapidement que le torse : l’exposition au froid est susceptible de déclencher le syndrome de Raynaud (doigts blancs et douloureux par vasoconstriction). Les mycoses aux pieds sont favorisées par les travaux dans des zones humides et/ou boueuses. Comme pour la chaleur, le froid entraine des risques indirects, favorisés par la diminution de la dextérité due au refroidissement des extrémités, à la diminution des performances musculaires et à l’incapacité à effectuer des mouvements fins. La vigilance mentale est également réduite en raison de l’inconfort causé par le froid.

 

Enfin, des réactions allergiques peuvent être provoquées par des piqures d’insectes (abeilles, guêpes, frelons..).

 

Risques chimiques

Les risques chimiques sont eux-aussi multiples, causés par les intrants (engrais et surtout produits phytosanitaires), par les intoxications aux gaz de fermentation ou de sulfitage, par les nettoyants et désinfectants des caves de vinification, et par la silice cristalline renfermée dans les terres de diatomées calcinées pour filtrer le vin avant la mise en bouteilles.

– La vigne est l’objet d’une très forte pression phytosanitaire, car il s’agit d’une culture fragile : les fongicides pour lutter contre l’oïdium, le mildiou et le botrytis, les insecticides, les herbicides pour détruire les adventices, sont largement pulvérisés plusieurs fois par an. Les viticulteurs sont de loin les plus gros utilisateurs et les surfaces concernées par les applications de produits phytosanitaires sont importantes. L’exposition des viticulteurs à ces traitements phytosanitaires, lors de la préparation des bouillies, de l’épandage (défaut d’étanchéité des combinaisons, particulièrement au niveau des poignets, et des cabines) , du nettoyage du matériel de pulvérisation ou des équipements de protection, de la ré-entrée sur les sites viticoles, est génératrice de risques chimiques importants : maux de tête, nausées, vomissements, vertiges, paresthésie (trouble de la sensibilité) ; mais potentiellement à long terme, l’impact de ces substances sur la santé des viticulteurs présente des risques cancérogènes, neurotoxiques, de perturbation endocrinienne (reprotoxicité) pour une exposition chronique.

– Les troubles de contact sont fréquents avec les fertilisants, les produits phytosanitaires et les détergents et désinfectants : le contact cutané peut provoquer des allergies et des troubles caustiques (dermites, ulcérations), le contact respiratoire est responsable de rhinites, d’asthmes professionnels.

– Des accidents graves, voire mortels, sont dus à l’asphyxie par le CO2 dégagé lors de la fermentation dans les cuves dans le processus de vinification. Le dégagement du dioxyde de carbone (CO2) est dangereux, non seulement du fait du risque d’asphyxie, mais aussi parce que celui-ci est imperceptible (inodore, incolore) et plus lourd que l’air, ce qui lui permet de se concentrer au fond des cuves, notamment enterrées, ou dans des locaux confinés et non ventilés.

– Des irritations des voies respiratoires par le SO2 sont provoquées par des fuites lors de la manutention des bouteilles de gaz, lors des opérations de sulfitage.

– L’inhalation fréquente de poussières minérales renfermant de la silice cristalline libre contenues dans les terres de diatomées utilisées pour la filtration des vins, des lies et des moûts peut entraîner une inflammation pulmonaire chronique.

– Le méthane, incolore, inodore, produit par les effluents viticoles riches en matière organique, est inflammable et asphyxiant.

Les mesures de prévention des risques des viticulteurs et vignerons

 

Les différents risques professionnels doivent faire l’objet d’une évaluation :

pour permettre la rédaction du Document Unique de Sécurité (Décret du 5 novembre 2001) en appréciant à la fois l’environnement matériel et technique (outils, machines, produits utilisés) et l’efficacité des moyens de protection existants et de leur utilisation selon les postes de travail,

pour décrire les actions de prévention complémentaires à mettre en œuvre.

Ce Document Unique doit être actualisé au moins annuellement.

De manière aussi à ce que les salariés puissent être informés à propos des produits dangereux utilisés, les Fiches de Données de Sécurité (F.D.S.) doivent être mises à disposition et la connaissance de leurs risques expliquée au travers de la compréhension de leur étiquetage.

 

Des outils et machines ergonomiques et installations adaptées

 

– Aménagement du siège des véhicules adapté à la conduite prolongée et utilisation des sièges-vigne qui permettent de travailler au niveau du pied de vigne.

 

La cabine de taille à l’abri des intempéries avec des sièges de taille ergonomiques est une solution d’équipement pour faire face à la fois aux variations climatiques et aux risques de TMS.

 

– Sécateurs assistés et régulièrement affilés et affutés.

L’utilisation de sécateurs assistés, l’apprentissage de l’aiguisage des lames sont des mesures de prévention essentielles : le sécateur électrique soulage les efforts répétitifs du poignet et du coude mais ceux-ci se déplacent vers l’épaule. Si bien qu’il est indispensable de marquer des temps de pause régulièrement, qu’on peut utiliser pour affiler le sécateur de manière à maintenir toujours l’aisance de la coupe.

 

Il existe aussi de puissants sécateurs hydrauliques ou pneumatiques.

 

– Des installations anti-chutes.

Pour la prévention des risques de chute de plain-pied, des revêtements de sol antidérapants doivent être privilégiés, les inégalités de surfaces et/ou obstacles (carreaux manquants, tuyaux au sol, cartons, palettes…) doivent être soit supprimés soit clairement signalés, notamment dans les lieux de passage ; les sols doivent être nettoyés régulièrement et tout produit accidentellement répandu, lors d’une fuite ou déversement, immédiatement épongé.

 

Pour protéger les vignerons des risques de glissades, il convient rendre le sol antidérapant et les sols doivent être couverts de résine ou de revêtements antidérapants : mais, sans une bonne tenue des locaux, cette mesure préventive ne sera jamais tout à fait efficace.

Des escaliers antidérapants, avec par exemple nez de marches antidérapants en acier ou en aluminium, doivent être aménagés.

Les plates-formes, passerelles doivent être munies de garde-corps, de rambardes amovibles de sécurité, notamment au dessus des fosses à vendanges. Les échelles doivent disposer de crochets et de pieds antidérapants.

 

– Machines conformes aux normes ou mises en conformité : bouton d’arrêt d’urgence, le conquet de réception équipé d’une vis sans fin doit être protégé par des grilles et privilégier une commande à distance.

 

– Une installation électrique conforme

L’installation électrique (armoires électriques, fils et câbles, éclairage) doit être conforme aux normes de sécurité électrique, en particulier, la bonne mise à la terre de toutes les installations métalliques doit être contrôlée, les prises de courant défectueuses remplacées, …

 

– Plan d’évacuation et consignes de sécurité affichés visiblement, extincteurs en nombre suffisant et vérifiés annuellement.

 

Des mesures de prévention organisationnelle

L’alternance des tâches et des gestes prévue à l’avance, l’organisation des plannings pour permettre des temps de pause, la prévision des conditions climatiques afin de bien choisir les dates pour la réalisation des divers travaux, sont des facteurs importants dans la diminution des TMS.

Parmi les autres mesures d’organisation :

– Pré-tailler la vigne et commencer par tailler les cépages les plus tendres, pour diminuer les efforts au moment de la taille et du tirage du bois.

– Eviter le travail isolé (par exemple décuvage à deux).

– Vaccination antitétanique.

 

Des mesures de prévention des risques phytosanitaires et chimiques

La réduction des intrants phytosanitaires est une mesure de prévention primaire de la filière viticole :

– l’entretien du rang entre les ceps doit se faire plus souvent par travail du sol mécanique, par enherbement, plutôt que par désherbage chimique.

– optimiser les doses et nombres de traitement en fonction des critères météo, état sanitaire, stade de développement de la culture…

 

Les mesures de prévention collective indispensables sont les suivantes :

– Aménagement du local phytosanitaire et de l’aire de préparation et de nettoyage des équipements de travail : ventilation efficace, séparation des produits en fonction des FDS…

– Limiter les durées d’exposition,

– Bon réglage des pulvérisateurs,

– Cabines filtrantes et pressurisées climatisées, entretien scrupuleux des cabines (joints, vitres,…),

– Respect de rentrée dans les parcelles traitées.

 

Quant aux mesures de protection individuelle, il faut absolument utiliser l’ensemble des protections disponibles, même si le port de certains équipements peut être gênant (chaleur, finesse des manipulations..).

 

L’exposition au produit peut se faire lors de la préparation (exemple : remplissage du pulvérisateur) ou durant le traitement, ou lors des opérations de nettoyage des équipements de travail. Même avec les cabines, les obligations usuelles d’effectuer des réglages extérieurs, voire d’utiliser des commandes qui impliquent des ouvertures de cabines, projection de brouillard sur les vitres, sans compter la nécessité de changer fréquemment les cartouches, sont aussi des occasions d’exposition.

 

L’objectif est d’éviter au maximum toute exposition cutanée, respiratoire ou digestive. Il est primordial que l’utilisateur connaisse les phases les plus à risque et porte une protection (gants et combinaison résistants au risque chimique, masque à cartouche et lunettes de protection, bottes imperméables) à ces moments clefs (préparation, nettoyage, incidents lors de la pulvérisation).

En application ou en réentrée (intervention sur culture après que cette dernière ait été traitée), il est essentiel d’avoir une hygiène rigoureuse : se laver les mains après chaque intervention, prendre une douche immédiatement après le traitement, laver ses vêtement séparément, remplacer tout vêtement souillé par des projections. Les équipements de protection individuelle ne doivent pas sortir du lieu de travail et être entreposés séparément des vêtements personnels. Il est aussi important de rappeler que les vêtements de protection (bottes, combinaison, masque, gants) doivent être rangés en dehors du local de stockage des produits phytosanitaires afin d’éviter leur saturation par les éventuelles vapeurs toxiques pouvant être dégagées par les produits.

Les vêtements de travail et équipements de protection individuelle fournis et entretenus par l’employeur comportent : les combinaisons de protection, les masques avec filtre à gaz ou lunettes selon les cas, les gants, les bottes de sécurité ou de protection. L’employeur doit s’assurer que ces équipements de protection individuelle sont effectivement portés.

 

– Pour le sulfitage, porter un masque avec une cartouche de type E, et pour la filtration sur terres de diatomées, porter un masque poussière P2 ou P3, et des gants adéquats et des lunettes dans les deux cas.

 

Des mesures de prévention des risques de la chaleur et du froid

Lors d’épisodes de chaleur, débuter la journée de travail plus tôt et reporter les lourdes tâches aux heures plus tempérées de la matinée, aménager des zones de travail et de repos à l’ombre avec mise à disposition d’eau fraîche, inciter les travailleurs à se couvrir la tête, à ne pas travailler torse nu et à porter des vêtements amples et légers, de couleur claire, permettant l’évaporation de la sueur (le coton est à privilégier, le nylon est à éviter), sans toutefois négliger le port des équipements de protection individuelle si nécessaire (gants de taille anti-coupures…), sont des mesures évidentes. Les travailleurs doivent porter une protection de la peau pour les parties du corps qui ne peuvent pas être couvertes, essentiellement le visage, les oreilles, le cou et la nuque, en appliquant largement une crème solaire sur la peau laissée à nu, et des lunettes de protection avec filtres pour l’ultraviolet pour assurer la protection oculaire.

 

– Le port de protections individuelles contre le froid (combinaison ou veste et pantalon, bottes ou chaussures fourrées antidérapantes, grosses chaussettes, bonnet …) sont indispensables.

 

Des mesures de prévention des risques d’asphyxie

L’élimination du dioxyde de carbone doit s’effectuer par une aération satisfaisante, et surtout par ventilation forcée par aspiration et par extraction de l’air dans les cuves et les chais.

L’utilisation du test de la bougie ou du briquet pour détecter la présence de CO2, est dangereuse, car insuffisamment sensible au manque d’oxygène dans l’air : l’asphyxie du vigneron dans une cuve à vin commence avant la concentration de CO2 dans l’air nécessaire à l’extinction de la flamme ; c’est pourquoi, on doit s’équiper d’un appareillage de détection portable, peu encombrant, fiable, et de mise en œuvre facile.

 

Des mesures de formation aux risques

La multiplicité, la fréquence et la gravité des accidents du travail et maladies professionnelles dans les métiers de la viticulture et de la vinification nécessitent d’entreprendre des actions de sensibilisation et de formation des travailleurs à la sécurité. En particulier, pour le personnel saisonnier des séances minimales d’information sur les risques et les moyens de les prévenir (notamment pour les dorsalgies, tendinites, coupures, coups de soleil, projections oculaires…) doivent être organisées, avant chaque campagne de vendange par exemple.

Formation du personnel sur les risques phytosanitaires et sur les dangers des produits utilisés et sur les moyens de se protéger (par exemple savoir lire attentivement l’étiquette du contenant des produits et connaître les symboles présents sur les récipients, utiliser les E.P.I adéquats),

Formation sur les premiers secours pour pallier les conséquences d’un éventuel accident de travail

Formation PRAP (Prévention des Risques liés à l’Activité Physique) pour prévenir les risques liés aux manutentions manuelles. Il s’agit d’apprendre les bonnes postures de travail, les positions articulaires adéquates, en appliquant les principes de base de sécurité physique et d’économie d’effort.

La formation à l’utilisation des extincteurs et connaissance des consignes d’incendie et d’évacuation